Plongée dans les geôles « indignes » du commissariat central de Montpellier

Le 6 octobre, le Conseil constitutionnel a jugé qu’« en cas d’atteinte à la dignité d’une personne
résultant des conditions de sa garde à vue, le magistrat compétent doit immédiatement prendre
toute mesure afin de mettre fin à cette atteinte ou, si aucune mesure ne le permet, ordonner sa
remise en liberté ». Un rapport de 2021, passé inaperçu, alerte justement sur « des locaux d’hébergements indignes » au commissariat central de Montpellier