À Montpellier comme ailleurs, ceux qui sont précarisés ou défendent leurs droits et leur liberté subissent des violences d’État. Le couvre feu et le confinement, mesures de contrainte et de contrôle promulguées au nom de l’état d’urgence sanitaire, permettent de renforcer la répression: amendes, intimidations, brutalités policières, gardes à vue, comparutions à huis…