Sète. Petite déambulation festive des gilets jaunes pour l’acte XI
Jules Panetier
Publié le 27 janvier 2019 à 15:49 (mis à jour le 26 février 2019 à 17:15)
« On est là ! On est là, même si Macron ne veut pas, on est là, pour l’avenir des travailleurs et pour un monde meilleur, nous on est là… ! » Pour cet acte XI de la mobilisation des gilets jaunes à Sète, nous étions une centaine au départ, deux cents à certains moments, pour une déambulation festive et revendicative.
Départ, à 11h, du parking du Mascoulet, direction la gare par le Quai Pasteur et l’avenue Victor-Hugo. Pause à la gare où nous avons retardé un peu le trafic ferroviaire en s’installant sur les voies, au son de « Macron démission » et « on vient te chercher chez toi ! ». Le cortège repart, toujours aussi déterminé, pour se diriger vers le commissariat. Nouvelle pause. « Non non non aux violences policières ». Nous somme ensuite repartis le long des quais, avons remonté la rue du Gal de Gaulle, la rue Gambetta, avons emprunté, bruyamment, le passage du Dauphin, le quai de la Résistance, la Grand rue Marion Roustan, sommes redescendus par le quai du Gal Durand pour remonter jusqu’à la place Léon Blum, autrement nommée place du Pouffre, devant la mairie. Là, nous nous sommes arrêtés pour manger, macronade au menu !, et échanger.
13h30, beaucoup décident de partir à la manif de Montpellier. D’autres semblent vouloir rejoindre le péage de Poussan. Rendez-vous est donné au mégaphone pour la nuit jaune, ce soir, et pour les rassemblements de demain, chaîne humaine jusqu’à Nîmes, marche pour le climat et autres manifs. À noter, les streets médics, bien présents, n’ont pas eu à intervenir. C’était on ne peut plus tranquille. L’accueil des gens, à leur fenêtre ou sur les trottoirs, est toujours excellent !
Départ, à 11h, du parking du Mascoulet, direction la gare par le Quai Pasteur et l’avenue Victor-Hugo. Pause à la gare où nous avons retardé un peu le trafic ferroviaire en s’installant sur les voies, au son de « Macron démission » et « on vient te chercher chez toi ! ». Le cortège repart, toujours aussi déterminé, pour se diriger vers le commissariat. Nouvelle pause. « Non non non aux violences policières ». Nous somme ensuite repartis le long des quais, avons remonté la rue du Gal de Gaulle, la rue Gambetta, avons emprunté, bruyamment, le passage du Dauphin, le quai de la Résistance, la Grand rue Marion Roustan, sommes redescendus par le quai du Gal Durand pour remonter jusqu’à la place Léon Blum, autrement nommée place du Pouffre, devant la mairie. Là, nous nous sommes arrêtés pour manger, macronade au menu !, et échanger.
13h30, beaucoup décident de partir à la manif de Montpellier. D’autres semblent vouloir rejoindre le péage de Poussan. Rendez-vous est donné au mégaphone pour la nuit jaune, ce soir, et pour les rassemblements de demain, chaîne humaine jusqu’à Nîmes, marche pour le climat et autres manifs. À noter, les streets médics, bien présents, n’ont pas eu à intervenir. C’était on ne peut plus tranquille. L’accueil des gens, à leur fenêtre ou sur les trottoirs, est toujours excellent !
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