En plus des personnes pour qui il est impossible de mettre sa vie professionnelle sur pause (comme les employé.e.s d’usine, du médical, ou de la grande distribution), les plus précaires et sans domiciles fixes sont dans l’incapacité de respecter le confinement. Si la priorité semble de s’éloigner des autres en s’enfermant chez soi, pour certains il s’agit d’abord de pouvoir se nourrir.